VOYANCE OLIVIER

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Michel a parlé de sa monsieur, de cette coupure soudaine, de son incompréhension. Et extrêmement rapidement, Olivier a parlé d’un plan familial familial, d’une contamination silencieuse de non-dits, d’un instant dans l’enfance de rémi qui restait tels que une écharde. Michel a écouté sans interrompre. Et tout auquel coup, une image est remontée. Une scène oubliée. Et actuellement, elle vous le renvoie, non pas pour vous punir, mais parce qu’elle vise à encore pouvoir être constatée. Mais deux semaines postérieurement, elle l’a invité auxquels déjeuner. Ce n’était pas idéal. Mais c’était le commencement d’un récent dialogue. Michel n’en parle pas autour de lui. Ce jour-là, dans ce cas qu’elle feuilletait machinalement les pages de son journal privée, un mot revenait assidûment : attente. Attente de symboles, attente de justifications, attente d’un déclic. Mais rien ne venait. C’est en survolant sur son téléphone qu’elle est tombée par destin sur un produit mentionnant la voyance immédiate. L’expression l’a arrêtée propre. Elle dit simplement que dans ce instant suspendu, elle a trouvé un assistance inattendu. Et que la voyance immédiate, alors que elle est pratiquée avec justesse, est en capacité de être un réflecteur éclairant. Pas pour tout savoir. Mais pour enfin mêler. Elle avait rapide but de comprendre ce qui se jouait vraiment, en elle et entre eux. C’est en scrollant sur son téléphone, presque machinalement, qu’elle est tombée sur le mot : voyance immédiate. L’idée l’a d’abord fait sourire. Ces mots l’ont figée. Elle ne comprenait pas tout, mais elle savait qu’il avait touché juste. Olivier n’a pas cherché que diaboliser Hugo. Il a décrit un homme en lutte avec lui-même, pris entre la frayeur d’aimer et celle de tragique. Il a parlé d’un cours qui tirait entre eux, mais d’un rythme intérieur décalé. Ce n’est pas une impasse, Nina, c’est un carrefour. Mais vous devriez nous guider si vous êtes prête à attendre, ou lequel ouvrir une autre porte. À aucun instant elle ne s’est sentie jugée.

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